Curiosités et Informations de St Aubin Château Neuf

Curiosités , informations sur notre Village.

Curiosités et Informations de St Aubin Château Neuf    

Tout le monde sait que depuis toujours, la chasse dans nos campagnes restait la distraction principale de nos jeunes et moin jeunes.!!..    Je vais vous retracer les faits d'une partie de chasse exceptionnelle sur St Aubin au XVIII ième siècle.    Le Drame des bois des Chapelleries en 1738.                                                                           Les peines éditées par la loi contre les chasseurs  et les braconniers sont-elles trop rigoureuses ???... Oui disent  les délinquants.!!... Non affirment ceux du camp opposé.!.... Vérité en deça, erreur au del, comme disait   (Pascal.)       Toujours est -il que châque année apporte son contingents d'accidents et de malheurs irréparables du à l'incurie de négligents ou d'imprudents qui font usage de leur armes à feu avec ou sans l'autorisation.....du  gouvernement.           En Puisaye,nous avons , pendant la saison d'hiver, une ou plusieurs battues aux sangliers, sous la direction de Nemrods actifs et expérimentés.  Il n'est pas rare, par un beau temps de neige ou par une forte gelée de trouver, le matin, réunis, soit à la Croix de Pierre, soit à la Croix de St Nicolas, trente à quarante chasseurs ou  porteurs de fusils et soixante à quatre-vingts traqueurs,armés de pieux ou de bâtons.                    Parfois , après avoir attendu vainement au poste indiqué, pendnt plusieurs heures , chacun prend son parti en brave et de rentrer, philosophiquement  au gite, avec l'espoire d'ètre plus heureux le lendemain, ou les jours suivants.        Mais, généralement, grâce aux meutes bien dirigées et bien exercées que possédent plusieurs propriétaires des environs,nos concitoyens voient leur patience et leur courage réconpensés.        Les battues sont alors une occasion de véritable plaisirs, auquel vient s'ajouter un certain profit par une quote-part plus ou moins imprtante dans le partage des habillé de soies.     Car la tête du sanglier est attribuée au chasseur qui a tué la bête, et le corps de l'annimal est partagé, par portions égales, autant que possible,entre tous les combatants, qu'ils soient chasseurs ou traqueurs.  Les Battues sont donc avantageuses, et dans l'intérêt général, elles ne sauraient être trop encouragées, pour la destruction des annimaux dangerux et malfaisants, sous réserve de n'y admettre que de bons tireurs et d'en interdire impitoyablement l'accès aux maladroits ou imprudants et trop disciple de Bacchus !!....         Viennent les mois de février, alors que la saison des battues est à peu près passée, nous avons un autre genre de chasse bien connue sous le nom de crôule. ( Anomatopée qui  sert à désigner la chasse à la bécasse.        L'également, la crôule n'est permise après le couché du soleil, ni avant son lever.        Il va sans dire qu'elle ne peut s'executer que par les titulaires d'un permis de chasse.    Cependant les fusillades, parfois bien nouries, que l'on entend , en Février et Mars,matin et soir, à heures indues, prouvent que toutes les montres  ne sont pas d'accord avec la gendarmerie et Mr le Sous-Préfetest loin d'avoir signé tous les permis de chasse de nos porteurs de fusils.    A l'appui de ce qui précéde, notamment pour ce qui concerne le braconnage nocturne, nous pourrions citer nombre de faits qui viendraient corraborer nos désidérata.  Qu'il nous soit permis de rapporter  le suivant. 

Je vais vous retracer  les faits d'une partie de chasse exceptionnelle des années 1767 qui finit par un drame.!    A cinq cents mètres environs de la route de Villiers St Benoit, sur St Aubin-Château-Neuf, et a proximité des hameaux des Champs Blancs, de Charmant et de Fumerault, dépendant tous trois de cette dernière commune, se trouve un bois connu sous le nom des Chapelleries.   Ce bois d'une contenance de 55 hectares, figure à la matrice cadastrale de St Aubin, sous la section F n°118.       L'honorable président de la Société des  Sciences, Mr Cotteau, en est le propriétaire.                                                                                                                                Le 2 Juin 1738, les Chapelleries, furent le témoins d'un affreux drame, qui malheureusement, se produit journellement, malgré les précautions que peuvent prendre ceux qui font usage d'armes à feu.       Un homme fut bléssé mortellement pendant une chasse à l'affut, et son meurtrier involontaire, du prendre la fuite et solliciter des lettres de grâce.         Il y a quelques 200 ans, mon grand- père maternel, né en 1788, qui avait été élevé à Charmant, ou son père était cultivateur, me racontait les péripécies du drame de 1738, dont le souvenir s'était perpétué à St Aubin et dans les villages voisins.         Les détailles que m'avait fourni mon aïeul m'étaient souvent revenus à ma mémoire, surtout depuis que je suis fixé à Villiers-St-Benoit et que mes occupations et mes relations de famille m'appellent fréquemment à St Aubin .                                                                                    Plus d'une fois, j'avais eu l'idée de livrer ces détails à la publicité.    En 1788, un de mes voisins, dont les ancètres avaient conservé les lettres de Grâce octroyées par le Roy Louis quinzième du nom, à Leger Bouveau, me communiqua ces lettres.!..  Ce sont ses curieuses lettres que nous publions aujourd'hui, à titre de curiosités.        Elles sont écrites en ronde, sur une belle feuille de parchemin  qui n'a pas moins de 74 cm sur 50, nous vous en donnons le texte.               Du grand Sceau Royal, en cire verte (ayant 9cm de diamêtre) est appendu au bas au moyen de lacets de soie.   Elle portent les belle signatures autographées de Lois XV, Roy de France  et de Philippeaux, premier Mistre ( Conte de St Florentin).     Elles sont visées par d'Aguesseau, président du Parlement, pour rémission à Léger Bouveau.                                                                                                              Au verso se trouve la mention suivante:   ( Les présentes lettres ont été enregistrées au Greffe du Bailliage du  siège criminel de Sens, en conséquence de l'enthérinement dicelles, aujourd'hui trente et un Octobre 1738, par  moy.   Greffier sousigné:   signé Ruinard  ( avec paraphe)                                                                                        Le droit  de grâce qui, en France, est une des plus belles et en même temps, une des plus importantes prérogatives du Chef de l'Etat. ( Qu'il soit Roy, Empereur ou Préisident ) est-il toujours exercé avec une impartialité et une perspicacité à l'abri de tout reproche ??.... ) . Des faits récents, et de genres divers, nous laisse perplexes à ce sujet.       Loin de nous, la pensée de blâmer la grace accordée à Léger Bouveau.   Elle était juste  et naturellement déterminée par les circonstances qui avient accompagné le mort tout à fait accidentelle et bien excusable d' Etienne Compère .      Mais , en a-t-il toujours été de la sorte, aussi bien au temps jadis qu'a l'époque ou nous vivons !!...et aussi bien en matière politique ou criminelle, qu'au point de vue civil ou correctionnel ??...                    Grave question à laquelle chacun peut répondre suivant son tempérament, le millieu ou il vit et aussi par application de l'aphorisme de Pascal que nous avons rappelé au début.        En terminant, nous exprimons un voeux en faveur de nos compatriotes, les chasseurs de St Aubin, Villiers et autres lieux.   Nous leur donnons en même temps un bon conseil.!!....                                                                                                                            Quand vous irez à la croule ou aux battues, que le grand St Hubert vous assiste !!.... mais surtout n'oubliez pas qu'a heures indues, bien que vous soyez porteur d'un permis de chasse, vous agissez (s.g.d.g).  Lettres que vous frez bien  de traduire à la façon d'un de mes amis d'enfance !!...Pour lui, elles signifiaient: (Se Garder Des Gendarmes. )

   
   
   

 

 l'Equipe des bornes Cisterciennes St Aubinoises ont abandonné momentanément leur entretien de celles ci en concéquence des pluies abondantes de notre été pouri, terres et chemins détrempés et  mal entretenus très souvent couverts de végétations et d'arbres tombés.               Nous nous sommes reporté sur le nettoyage  et création d'un accès à notre source Des Bleines.                                             De nombreuses démarches ont été accomplies pour la protection de nos bornes cisterciennes.    D'abord auprès de la DRAC direction régional des affaires culturelles de Dijon, contactée par notre ancien maire (PG)en 2018 pensant avoir réssi.             Je du relancer la demande ou ils m'ont réclamer la situation de chaque bornes le N° des parcelles, les noms des propriétaires et les titres de propriétés.   Après de nombreux couriers et la demande d'une éventuelle visite sur place, 5 années se sont écoulées, pour nous annoncer que la protection au titre de monuments hitorique ne semble pas adaptée pour nos bornes. Toute fois, compte tenu de leur intérêt historique, pourraient faire l'objet d'une protection à titre de site exceptionnel, et nous conseil de nous adresser à la DREAL direction régionale de l'environnment de l'aménagement à Dijon.         Ceux ci nous revoient au Centre de Bourgogne- Franche-Comté de Besançon, qui après pas mal de démarches, nous mettent en contact avec le délgué  du Pays Puisaye Forterre, ( Mr Vernhe de St Fargeau).   Celuici demande à les vister et je lui présente les 10 bornes les plus visibles facilement .       Ravi de cette découverte, il communique sont rapport a son supérieur ( délégué départemntal de la Fondation du Patrimoine) et nous attendons encore la réponse qui ne vient pas !!!.....     Sur ses entrefaits je décide de m'adresser à Stéphane Bern grand protecteur des monuments anciens à la Fondation du Patrimoine en péril, à Neuilly /Seine .            La réponse est la suivante :( les demandes sont telles que même s'il le souhaitait, son agenda ne lui permet malheureusement pas de répondre à toutes.  Nous vous invitons à vous rapprocher de l'UDAP l'Unité Départementale de l'Architecture et du Patrimoine de l'Yonne, structure compétente pour cette demarche, ce qui sera éffectuée dès la reprise,pensant que la période des vacances n'étant guère propice à ce genre de démarche !!!....je vous tiendrai au courant de la suite des évainements.  Merci                                                                           

Ses derniers mois nous venons de prendre avec (les Jeux olympique et Paralimpyque )  une excellente leçon de savoir vivre, de courage, de respect et de fraternité dans un cadre exceptionnel, (notre capitale, ( Paris)         Notre beau pays,( la France) dont nous pouvons être fier, vient de donner l'exemple au monde entier !!....Tout fut parfait, l'organisation , la sécurité, l'accueil, grasse à ses milliers de bénévols, qui furent irréprochables et exemplaires, (ils ont tous fait leurs boulots) sans oublier les Athlètes, ce qui prouve que quand on se donne la main, qu'on joue la solidarité  (rien n'est impossible), c'est ensemble qu'on est les plus forts.( l'union fait la force.) un grand MERCI à eux tous.   Amitiés.          Dany

 

 

Ayant appri recemment que le Panneau interactif de la commune, devant la mairie, était instruit par un responsable de notre minicipalité, et servait à informer les habitants et visiteurs, des activités qui leurs étaient proposées.  je demanderai à ce que cette personne se documente sur les informations qu'elle diffuse par ce système, si non c'est de la fausse information,ou de l'information mensongère, qui ne devrait pas paraitre.!...                                              ( S'informer avant de publier c'est l'adroit.)    J'ai constaté  que dans se panneau  une erreur avait été faite sur le patrimoine ( informations sur nos 60 bornes cisterciennes installées au XII ième siècle.) Avec 47 bornes retouvées et non 43 comme l'indique le Panneau , et un plan du village qui mentionne 44 bornes.  Cette erreure à été reproduite sur la modification du PLUI de la Communauté de Commune de notre Canton ( Aillant / Tholon. ) ou nous avons du intervenir pour une modification. Tout cela est du temps de perdu, pour rien, et qui n'est pas encore résolut.     Merci pour  la correction !!...Nos bornes cisterciennes vous font-elles peur.?...ou faudrait-il mieux les oublier ?... Pourquoi ? ?...( pensez un peu à ceux qui les ont posées, aux effots fournis avec les moyens de l'époque d'il y aura bientôt 900 ans.)            Depuis plusieurs années,j'ai bon espoir de les faire un jour répertorier chez un organisme du patrimoine, afin de les fairent connaitre et protéger. Mon Voeux le plus cher serait la création d'un sentier les relayant toutes, permettant de les visiter, ajoutant à notre village une curiosité unique en notre départemnt et peut-être en france. Espérons, peut-être un jour, pourquoi pas !....    DC                                                                     

 Ce Samedi 9 Novembre 24 il fait bon !.. nous avons prévu de faire plus que notre travail, c'est à dire : le travail de la commune !!... défrichage du début d'un chemin qui donne accès aux bornes n° 38 et 39, perdues dans la broussaille et arbres couchés ,(à Chateau Gaillard) , sur une centaine de mètres.         Nous étions une dizaine de fous ou courageux, ( comme vous le voulez), dont deux personnes domiciliées sur Giens Bénédicte et Hèlène équipées de cerpes ,cisailles, sécateurs , taille aies, débroussailleuse, ect !..... Tout c'est parfaitement effectué dans la bonne humeur, arrosé par un ver de bourgogne, pour terminer la séance, avec la promesse d'y revenir !... 

 

Ce début Février, les deux mares des Champs blancs ont eu la visite d'une dizaine de courageux, pour un débroussaillage de leurs abords.( Elles en avaient besoins, bravo aux courageux bénévoles,) mais un problême de priorité intervient.                          Ne pensez-vous pas qu'il aurait été préfèrable de donner cette énergie,et ce temps pour l'entretien du Moulin du Berceau   ( La roue, les vannes, les abords du ru de Beausseron) dans un état lamentable, qui suscite de nombreuses visites tout au long de l'année. Alors qu'aux mares, trois personnes l'an, ne font que circuler.( les mares auraient pu attendre.)                Si l'on veux s'attirer des visiteurs sur notre village, commençons par l'entretien des sites visités.  ( C'est un choix à réfléchir, n'est ce pas !....      Merci

 

 

 

 

Lundi 9 Décembre 2024.      L'année 2024 laissera des souvenirs inoubliables dans les mémoires du monde entier, représenté par Paris, capitale de notre beau pays la France dont nous pouvons être fier. ( les jeux Olympiques et Paralympiques et la résurection de notre Dame de Paris )       Ses deux exploits jamais réalisés et sous le couvert de la Fraternité, la Solidarité et l'Espérance sont d'actualités.   Quelle leçons de respect et de gratitude qui montre à chacun de nous, qu'avec la volonté de s'unir et de s'entraider rien n'est impossible !!.... Grace à ses milliers de compétants volontaires en tous les métiers constructeurs et rénovateurs, l'impossible fut réalisé.    L'importance de la volonté de bien faire au mieux de sois même, à réalisé ses expoits.

Chapeau et grand merci à toutes ses grandes âmes capablent d'une telle splendeur.   Merci 

 

Suite  en dessous  .  ( Meilleurs Voeux pour 2025.)

 

 

 

Bon a savoir de l'équipe des bornes cisterciennes St Aubinoises (quelques précisions) qui vous signalent que jusque là,( Février 2025 ), aucune dépence ne fut débourssée par l'association (val d'Ocre Patrimoines) pour le compte des bornes, excepté le montant de la publication des brochures de ses bornes.    Généreux bienfaiteurs qui avez versé pour la restauration de l'Eglise de St Aubin,soyez rassurés, ses sommes resteront a l'association et servirons bien a l'entretien de celle ci.!... Par contre, les personnes qui ont versé pour les bornes cisterciennes; rassurez vous également,ses sommes sont bien au chaud à l'Association du Patrimoine, et sachez que nos bornes sont entretenues par nous mêmes, qui n'avons besoin dans un premier temp d'aucune finance.  Les travaux jusque là ont été  réalisés par l'équipe et des personnes bénévoles. Par contre la création d'un chemin de liaison entre elles demandera certainement quelques finances, suivant les travaux. merci à vous tous, généreux donateurs.       

 

 Mars 2025.    J'ai fais la demande à l'IGN pour que nos bornes cisterciennes  soient mentionnées sur  la carte IGN de notre secteur, accompagnée d'un plan du village mentionnant les bornes. Ils m'ont répondu que c'était possible et demandé de leurs fournir une carte plus détaillée.    J'ai divisé notre carte communale en dix secteurs, a fin de grossir et d'y trouver plus de détails à leur fournir, pour mieux les situer. Sans réponse, j'attend, espérons !...   

 

 
 

Bonne Année 2025.

 
 

Hommage à Daniel Louis.

Ce jeune résistant âgé de 20 ans  tombé sur le sol de notre village en 1944, nous arrivait de l'aube (10) pour échaper au STO à intégré le réseau .J M Buckmaster, qui s'était constitué dès 1943 en  région d' Aillant /Tholon, sous le commandement d'Alain  de la Roussille et de Pierre Argout,qui grace à son appartenace au SOE ( Spécial Opération Exsécutive) Britanique ce réseau avait pu bénéficier de plusieurs parachutages d'armes et de munitions dans l'été 1943.       Le 8 Avril 44 au soir, une voiture emmenant cinq résistants de ce groupe tomba sur un barrage de GMR au carefour,hameau des Placeaux. Le conducteur Alain de la Roussille, accéléra et força le barrage en descente,direction le village. Les GMR ouvrirent le feu et c'est au millieu de la cote que fut touché Daniel Loius.         La voiture mitraillée, dut s'arrèter au bas du pays a cause d'une roue crevée. le maquisard Daniel louis grièvement bléssé dans le dos, fut transporté au Moulin du Berceau ou il mourut peu de temp après de ses bléssures.         Homage à lui,à son courage et son sacrifice.      ( j'aimerait savoir ou repose son corp.merci.) sa stèle installée coté doite montant la cote des Placeaus ( endroit ou il à été touché.) à été descendue au monument aux morts du village.                                                                                                                                                                                                                                                   Sources : SHD GR 156449. Bailly Robert. ( Si la résistance m'était contée ( id.ANACR. Yonne. 1990p 339.  Mémoria GEN Web ) 

 

 

Histoire de la Source et du Lavoir de Lampy

Je vous propose aujourd'hui une histoire de StAubin du début du 19 ème siècle qui a fait couler beaucoup d'encre et dire beaucoup de paroles.    La propriété de la Fontaine et du lavoir de Lampy est disputée depuis deux siècles, entre les propriétaires du Moulin du Berceau et la Commune de St Aubin     La propriété du Berceau à été acquise par Mr Roslin de Fourolles, acte de vente du 20 novembre 1818, transcrit au bureau des ypothèques de Joigny le 11 janvier 1819. Puis il à été donné par testament alographe à Melle Billeton de Guillebaudon le 2 aout 1838, acte de février 1839. Vendu par Melle Billeton à Mr Leblanc Duvernoy. Acte du 9 novembre 1846.Transcrit aux hypothèques de joigny le 28 novembre 1853. Puis revendu partiellement à Mr Thibault Hyppolite et autre partie a Mr Michel Cahen.                  Il n'existe aucune archive communale ou dépatementale, aucune trace de revendication de Mr De La Borde ni de Melle Billeton de Guillebaudon concernant la fontaine.     Le lavoir n'a pas été construit à cette époque et date de bien avant.  La délibération du 28 juin 1848, vote les honoraires de l'architecte pour le projet de reconstruction.      Il est à noter que cette délibération est signée des conseillers municipaux qui habitent au pays, qui, pour la plus part, sont fermiers des prés de Mr Leblanc Duvernoy.     De tout ce qui précède, nous pouvons retenir que Mr Leblanc Duvernoy affirme sur la fontaine de Lampy, des droits qui ne lui sont pas reconnus par le conseil municipal et surtout par Mr Soufflot De Magny, hériter de l'encien propriétaire du domaine. Tandis que Mr Gravier et Soufflo de Magny n'ont pas voulut se déjuger.   Le fils de Mr Leblanc Duvernoy, vend la fontaine de Lampy à Mr Moreau, notaire a Senan.   Celui ci qui sait la propriété discutée hésite maintenant à la vendre au syndica intercommunal de Chassy et St Maurice, qui désir capter la source et poursuivre la commune de St Aubin, et tente d'établir ses droits dans le mémoire adressé au Préfet de l'Yonne en date du 31 Aout 1934.                Les titres sont examinés pour établir sa propriété.    l'acte de vente est sous signature privée. La parcelle en question ne figure pas dans l'acte de vente. L'acte de Mr Roslin de Fourolles, Delaborde est cependant détaillé par parcelles,même se qui concerne le Berceau. De ces quatre documents, nous tenons la preuve qu'il existait entre 1820 et 1840, un chemin dit de la fontaine, au Moulin. Il partait de la parcelle 49 et suivait le ruisseau de Lampy et aboutissait à la cour du Moulin. Par la cour du Moulin il communicait avec le chemin du grand Moulin, aucun doute possible à ce sujet.        Ce chemin à été échangé par la commune de St Aubin, à Mr Delaborde contre le chemin du grand Moulin appartenant à Mr Delaborde,( acte du 7 septembre 1824,tandis que Mr Delaborde abandonnait complètement le chemin du Grand moulin.  Aux habitants la faculté de circuler, comme par le passé, dans le dit chemin de la Fontaine., sans que jamais , ils puissent en être empèchés. Il est bien entendu qu'ils ne pourront jamais y trouver d'obstacles pour y circuler à pied comme en voiture. l'acte d'échange date de 1824.  Le tableau indicatif des chemins de 1828 drèssé par le même conducteur, ( voyez qui à fait drèssé le plan pour l'échange,) porte les mêmes indications de riverains que dans l'échange.  En 1830 le cadastre est en éxécution, la nue propriété du chemin de la fontaine, était figurée a un plan, et maintenant à Mr Delaborde,sera incorporé dans la parcelle lui appartenant et ainsi ne sera plus qu'incomplèttement au plan.               En même temps, un autre chemin est ouvert, partant de la cour du moulin, à coté du précédent, aboutissant à la fontaine.    Le plan du 1er Chemin drèssé par Gauthier, disparait des archives et est remplacé par le plan du second chemin, avec toutes indications pouvant faire croire qu'il s'agissait bien du plan relatif à l'échange de 1824.     Il y a bien là une certaine maneuvre pour parvenir à l'usurpation de la fontaine de Lampy et des chemins.   Le plan drèssé par Mr Duvernoy mentionne qu'il porte réserve du talus du chemin vers le ruisseau en faveur de Mr Laborde. Nous sommes en 1830. Aucun chemin communal ne peut-être supprimé, ni échangé de direction, à moin d'avoir rampli les formalités precrites par la loi du 28/7/24      il nous est donc impossible d'accepter le plan  Leblanc, puisqu'aucune des pièce requises n'y sont jointes. 1830- 1848. 18 ans sesont écoulés quand la commune veut reconstruire le lavoir.  Mr Leblanc Duvernoy alors propriétaire, croit profiter des maneuvres de son prédécesseur.Mr Dalaborde se prétendant propriétaire du terrain de la source. Il n'y met pas grande insistances à en juger par une lettre aux archives départementale.  La commune n'étant pas autorisée à plaider, les choses en restent là et le lavoir aussi.          Il est présumé que le dit lavoir à été restauré sans être couvert vers 1850.  Les comptes de gestions et budgets de ses deux années qui pourraient en fournir la preuve, manquent aux archives communales et ceux là seulement, ainsi qu'a cette date, ils manquent au dossier de la 1ère délibération du conseil municipal du 13/07/1823, fixants les conditions de l'échange.    2 ème , le plan drèssé des chemins par Gauthier. 3ème Le budjet et comptes de gestions de 1850 à 1851.    Toutes pièces ayant un grand intérèt pour la commune, ainsite à poser des quetions ???....A qui profitent ses disparitions. Le chemin de St Aubin à St Martin passait anciennement, entre la source et le lavoir, que l'examen de cette source ( matériaux de construction analogues à ceux de l'ancien clocher) Barre d'appui arrondi aux marteau) montre qu'elle date prèsque d'un millénaire. Le Lavoir, lui même existe de temps immémorial,délibération du conseil du 22/11/1846.   Le lavoir est à refaire, sur l'emplacement d'un lavoir déjà existant.   Mr Moreau déclare que Mr Duvernoy à fait couvrir le lavoir.!..    Nous répondons que la chose est exacte, mais que c'est reconnaitre implicitement qu'il ne la pas constriut et que par conséquent, il est bien à la commune.    Mr Moreau fonde des droits de propriété de son prédécésseur Mr Leblanc, sur des demandes d'achat de la dite fontaine par 1ère la Commune d'Aillant . 2èm Mr Cahen de Frauville et la commune . La 1ère demande à été ignorée et restée sans suite. La seconde demande de Mr Leblanc n'était pas spécialement intéressé par la source, mais pour utiliser l'ancien moulin du Berceau, comme force motrice d'une usine électrique et une machine élèvatoir.   Mr Moreau invoque en dernier, la demande d'achat du Sydicat intercommunale de Chassy St Maurice Thizouaille.                     Mr Moreau n'a pas éffectué la vente parce qu'il n'est pas certain de sa propriété, qu'il avoue en mairie devant l'adjoint et trois conseillers ,avec une origine incontestable.  Une réunion publique est déclarée, ou 70 personnes assistent et leurs ai      demandé avis par une pétition. 1er que la commune reserve à lampy 1er le droit au lavoir.!!.. 2ème le droit de puisé de l'eau avec une pompe.!!..le droit de prise d'eau sans frais en cas d'aduction avec priorités. 4ème le droit de puisage pour Sur /Ocre.      Du résultat , 130 personnes réclament les réserves à Lampy. Les délégués du syndicat sont convoqués, la commune de St Aubin autorise Mt Moreau a vendre la Fontaine seulement au Syndicat, Chassy , St Maurice. En cas contraire, elle reprend ses droits.    La commune à donc tout de même des droits qu'on peut réserver.      Point final. !!....         

Extrait des archives d'un grand Oncle, Leon Perdijon, ancien profèsseur au licée Montaigne à Paris, revenu au pays dans la fonction de secrétaire de mairie de cette époque.        

 

Hommage à Daniel Louis.

Ce jeune résistant âgé de 20 ans  tombé sur le sol de notre village en 1944, nous arrivait de l'aube (10) pour échaper au STO à intégré le réseau .J M Buckmaster, qui s'était constitué dès 1943 en  région d' Aillant /Tholon, sous le commandement d'Alain  de la Roussille et de Pierre Argout,qui grace à son appartenace au SOE ( Spécial Opération Exsécutive) Britanique ce réseau avait pu bénéficier de plusieurs parachutages d'armes et de munitions dans l'été 1943.       Le 8 Avril 44 au soir, une voiture emmenant cinq résistants de ce groupe tomba sur un barrage de GMR au carefour,hameau des Placeaux. Le conducteur Alain de la Roussille, accéléra et força le barrage en descente,direction le village. Les GMR ouvrirent le feu et c'est au millieu de la cote que fut touché Daniel Loius.         La voiture mitraillée, dut s'arrèter au bas du pays a cause d'une roue crevée. le maquisard Daniel louis grièvement bléssé dans le dos, fut transporté au Moulin du Berceau ou il mourut peu de temp après de ses bléssures.         Homage à lui,à son courage et son sacrifice.      ( j'aimerait savoir ou repose son corp.merci.) sa stèle installée coté doite montant la cote des Placeaus ( endroit ou il à été touché.) à été descendue au monument aux morts du village.                                                                                                                                                                                                                                                   Sources : SHD GR 156449. Bailly Robert. ( Si la résistance m'était contée ( id.ANACR. Yonne. 1990p 339.  Mémoria GEN Web ) 

 

 

Histoire de la Source et du Lavoir de Lampy

Je vous propose aujourd'hui une histoire de StAubin du début du 19 ème siècle qui a fait couler beaucoup d'encre et dire beaucoup de paroles.    La propriété de la Fontaine et du lavoir de Lampy est disputée depuis deux siècles, entre les propriétaires du Moulin du Berceau et la Commune de St Aubin     La propriété du Berceau à été acquise par Mr Roslin de Fourolles, acte de vente du 20 novembre 1818, transcrit au bureau des ypothèques de Joigny le 11 janvier 1819. Puis il à été donné par testament alographe à Melle Billeton de Guillebaudon le 2 aout 1838, acte de février 1839. Vendu par Melle Billeton à Mr Leblanc Duvernoy. Acte du 9 Novembre 1846.Transcrit aux hypothèques de joigny le 28 novembre 1853. Puis revendu partiellement à Mr Thibault Hyppolite et autre partie a Mr Michel Cahen.                  Il n'existe aucune archive communale ou dépatementale, aucune trace de revendication de Mr De La Borde ni de Melle Billeton de Guillebaudon concernant la fontaine.     Le lavoir n'a pas été construit à cette époque et date de bien avant.  La délibération du 28 juin 1848, vote les honoraires de l'architecte pour le projet de reconstruction.      Il est à noter que cette délibération est signée des conseillers municipaux qui restent au pays, qui, pour la plus part, sont fermiers des prés de Mr Leblanc Duvernoy.     De tout ce qui précède, nous pouvons retenir que Mr Leblanc Duvernoy affirme sur la fontaine de Lampy, des droits qui ne lui sont pas reconnus par le conseil municipal et surtout par Mr Soufflot De Magny, hériter de l'encien propriétaire du domaine. Tandis que Mr Gravier et Soufflo de Magny n'ont pas voulut se déjuger.   Le fils de Mr Leblanc Duvernoy, vend la fontaine de Lampy à Mr Moreau, notaire a Senan.   Celui ci qui sait la propriété discutée hésite maintenant à la vendre au syndica intercommunal de Chassy et St Maurice, qui désir capter la source et poursuivre la commune de St Aubin, et tente d'établir ses droits dans le mémoire adressé au Préfet de l'Yonne en date du 31 Aout 1934.                Les titres sont examinés pour établir sa propriété.    l'acte de vente est sous signature privée. La parcelle en question ne figure pas dans l'acte de vente.

 
 

Hommage à Daniel Louis.

Ce jeune résistant âgé de 20 ans  tombé sur le sol de notre village en 1944, nous arrivait de l'aube (10) pour échaper au STO à intégré le réseau .J M Buckmaster, qui s'était constitué dès 1943 en  région d' Aillant /Tholon, sous le commandement d'Alain  de la Roussille et de Pierre Argout,qui grace à son appartenace au SOE ( Spécial Opération Exsécutive) Britanique ce réseau avait pu bénéficier de plusieurs parachutages d'armes et de munitions dans l'été 1943.       Le 8 Avril 44 au soir, une voiture emmenant cinq résistants de ce groupe tomba sur un barrage de GMR au carefour,hameau des Placeaux. Le conducteur Alain de la Roussille, accéléra et força le barrage en descente,direction le village. Les GMR ouvrirent le feu et c'est au millieu de la cote que fut touché Daniel Loius.         La voiture mitraillée, dut s'arrèter au bas du pays a cause d'une roue crevée. le maquisard Daniel louis grièvement bléssé dans le dos, fut transporté au Moulin du Berceau ou il mourut peu de temp après de ses bléssures.         Homage à lui,à son courage et son sacrifice.      ( j'aimerait savoir ou repose son corp.merci.) sa stèle installée coté doite montant la cote des Placeaus ( endroit ou il à été touché.) à été descendue au monument aux morts du village.                                                                                                                                                                                                                                                   Sources : SHD GR 156449. Bailly Robert. ( Si la résistance m'était contée ( id.ANACR. Yonne. 1990p 339.  Mémoria GEN Web ) 

 

 

Histoire de la Source et du Lavoir de Lampy

Je vous propose aujourd'hui une histoire de StAubin du début du 19 ème siècle qui a fait couler beaucoup d'encre et dire beaucoup de paroles.    La propriété de la Fontaine et du lavoir de Lampy est disputée depuis deux siècles, entre les propriétaires du Moulin du Berceau et la Commune de St Aubin     La propriété du Berceau à été acquise par Mr Roslin de Fourolles, acte de vente du 20 novembre 1818, transcrit au bureau des ypothèques de Joigny le 11 janvier 1819. Puis il à été donné par testament alographe à Melle Billeton de Guillebaudon le 2 aout 1838, acte de février 1839. Vendu par Melle Billeton à Mr Leblanc Duvernoy. Acte du 9 Novembre 1846.Transcrit aux hypothèques de joigny le 28 novembre 1853. Puis revendu partiellement à Mr Thibault Hyppolite et autre partie a Mr Michel Cahen.                  Il n'existe aucune archive communale ou dépatementale, aucune trace de revendication de Mr De La Borde ni de Melle Billeton de Guillebaudon concernant la fontaine.     Le lavoir n'a pas été construit à cette époque et date de bien avant.  La délibération du 28 juin 1848, vote les honoraures de l'architecte pour le projet de reconstruction.      Il est à noter que cette délibération est signée des conseillers municipaux qui restent au pays, qui, pour la plus part, sont fermiers des prés de Mr Leblanc Duvernoy.     De tout ce qui précède, nous pouvons retenir que Mr Leblanc Duvernoy affirme sur la fontaine de Lampy, des droits qui ne lui sont pas reconnus par le conseil municipal et surtout par Mr Soufflot De Magny, hériter de l'encien propriétaire du domaine. Tandis que Mr Gravier et Soufflo de Magny n'ont pas voulut se déjuger.   Le fils de Mr Leblanc Duvernoy, vend la fontaine de Lampy à Mr Moreau, notaire a Senan.   Celui ci qui sait la propriété discutée hésite maintenant à la vendre au syndica intercommunal de Chassy et St Maurice, qui désir capter la source et poursuivre la commune de St Aubin, et tente d'établir ses droits dans le mémoire adressé au Préfet de l'Yonne en date du 31 Aout 1934.                Les titres sont examinés pour établir sa propriété.    l'acte de vente est sous signature privée. La parcelle en question ne figure pas dans l'acte de vente.

Hommage à Daniel Louis.

1 er.Ce jeune résistant âgé de 20 ans  tombé sur le sol de notre village en 1944, nous arrivait de l'aube (10) pour échaper au STO à intégré le réseau .J M Buckmaster, qui s'était constitué dès 1943 en  région d' Aillant /Tholon, sous le commandement d'Alain de la Roussille et de Pierre Argout,qui grace à son appartenace au SOE ( Spécial Opération Exsécutive) Britanique ce réseau avait pu bénéficier de plusieurs parachutages d'armes et de munitions dans l'été 1943.       Le 8 Avril 44 au soir, une voiture emmenant cinq résistants de ce groupe tomba sur un barrage de GMR au carefour,hameau des Placeaux. Le conducteur Alain de la Roussille, accéléra et força le barrage en descente,direction le village. Les GMR ouvrirent le feu et c'est au millieu de la cote que fut touché Daniel Loius.         La voiture mitraillée, dut s'arrèter au bas du pays a cause d'une roue crevée. le maquisard Daniel louis grièvement bléssé dans le dos, fut transporté au Moulin du Berceau ou il mourut peu de temp après de ses bléssures.         Homage à lui,à son courage et son sacrifice.      ( j'aimerait savoir ou repose son corp.merci.) sa stèle installée coté doite montant la cote des Placeaus ( endroit ou il à été touché.) à été descendue au monument aux morts du village.                                                                                                                                                                                                                                                   Sources : SHD GR 156449. Bailly Robert. ( Si la résistance m'était contée ( id.ANACR. Yonne. 1990p 339.  Mémoria GEN Web ) 

 

 

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Histoire de la Source et du Lavoir de Lampy

Je vous propose aujourd'hui une histoire de StAubin du début du 19 ème siècle qui a fait couler beaucoup d'encre et dire beaucoup de paroles.    La propriété de la Fontaine et du lavoir de Lampy est disputée depuis deux siècles, entre les propriétaires du Moulin du Berceau et la Commune de St Aubin     La propriété du Berceau à été acquise par Mr Roslin de Fourolles, acte de vente du 20 novembre 1818, transcrit au bureau des ypothèques de Joigny le 11 janvier 1819. Puis il à été donné par testament alographe à Melle Billeton de Guillebaudon le 2 aout 1838, acte de février 1839. Vendu par Melle Billeton à Mr Leblanc Duvernoy. Acte du 9 Novembre 1846.Transcrit aux hypothèques de joigny le 28 novembre 1853. Puis revendu partiellement à Mr Thibault Hyppolite et autre partie a Mr Michel Cahen.                  Il n'existe aucune archive communale ou dépatementale, aucune trace de revendication de Mr De La Borde ni de Melle Billeton de Guillebaudon concernant la fontaine.     Le lavoir n'a pas été construit à cette époque et date de bien avant.  La délibération du 28 juin 1848, vote les honoraires de l'architecte pour le projet de reconstruction.      Il est à noter que cette délibération est signée des conseillers municipaux qui restent au pays, qui, pour la plus part, sont fermiers des prés de Mr Leblanc Duvernoy.     De tout ce qui précède, nous pouvons retenir que Mr Leblanc Duvernoy affirme sur la fontaine de Lampy, des droits qui ne lui sont pas reconnus par le conseil municipal et surtout par Mr Soufflot De Magny, hériter de l'ancien propriétaire du domaine. Tandis que Mr Gravier et Soufflo de Magny n'ont pas voulut se déjuger.   Le fils de Mr Leblanc Duvernoy, vend la fontaine de Lampy à Mr Moreau, notaire à Senan.   Celui ci qui sait la propriété discutée hésite maintenant à la vendre au syndica intercommunal de Chassy et St Maurice, qui désir capter la source et poursuivre la commune de St Aubin, et tente d'établir ses droits dans le mémoire adressée au Préfet de l'Yonne en date du 31 Aout 1934.                Les titres sont examinés pour établir sa propriété.    l'acte de vente est sous signature privée.  La parcelle en question ne figure pas dans l'acte de vente. Ce pandant l'acte de Mr Roslin de Fourolles, Delaborde est lui, détaillé par parcelles, même en ce qui concerne le Berceau.              De ses quatre documents, nous tenons preuve qu'il existait entre 1820 et 1840, un chemin dit de la fontaine de Lampy au Moulin du Berceau. Il partait de la parcelle 40, (si l'on veut bien consulter le cadastre drèssé en 1830   Ce chemin suivait le ruisseau de lampy et aboutissait à la cour du Moulin.  Par la cour, il communiquait avec le chemin du grand Moulin de St Aubin.  Aucun doute possible à ce sujet. Ce chemin à été échangé par la commune, contre le chemin du grand Moulin appartenent à Mr Delaborde ( acte du 7 septembre 1824),tandis que Mr Delaborde, abandonnait complètement le chemin du grand Moulin.          La commune réservait aux habitants la faculté de circuler comme par le passé, dans le dit chemin de la fontaine de Lampy, sans que jamais, ils puissent en ètre empèchés, et il est bien entendu qu'ils ne pourront jamais y trouver d'obstacle pour y circuler tant à pied qu'en voiture.     Ainsi Mr Delaborde lâche la proie pour l'ombre.l'acte d'échange date de 1824.   Le tableau indicatif des chemins de 1828 drèssé par le même conducteur, voyez qui à fait drèssé le plan pour l'échange, porte les même indications de riverains que dans l'échange. En 1830, le cadastre est en train d'être éxécuté, la nue propriété du chemin de la fontaine de Lampy, étant maintenant à Mr Delaborde et sera incorporé dans la parcelle lui appartenant et ainsi ne sera plus qu'incomplétement figuré au plan.           En mêmentemps ,un autre chemin est ouvert, partant de la cour du Moulin à coté du précèdent, aboutissant à la fontaine.        Le plan du 1er Chemin drèssé par Gauthier, procès verbal du 5 Mars 1824, disparais des archives et est remplacé par le plan du second chemin, avec toutes les indications pouvant faire croire qu'il sagit bien du plan relatif à l'échange de 1824.          Il y a là bien certainement une maneuvre pour parvenir à une usurpation de la Fontaine et des chemins. Nous signalons en même temps que dans l'acte d'échange de 1824, le chemin du Grand Moulin, cédé par Mr Delaborde a la commune,est porté comme le tenant d'un coté au pré de Mr Delaborde, séparé par un ruisseau, ou le plan de Mr Leblanc Duvernoy su mentionné, porte réserve du talus du chemin vers le ruisseau en faveur de Mr Delaborde.    Nous sommes en 1830,aucun chemin communal ne peut être suprimé, ni changer de direction, à moin d'avoir rempli les formalités préscrites par la loi du 28 Juillet 1924.    Il nous est donc impossible d'accepter le plan Mr Leblanc, puisqu'aucune des pièces requises n'y est jointes.( 1830 à 1848,) 18 ans se sont écoulés, quand la commune décide de reconstruire le lavoir. Mr Leblanc Duvernoy, alors propriétaire, croit profiter des maneuvres de son prédécésseur et se présente propriétaire du terrain de la source. Il n'y met pas beaucoup une gr..ande insistance à en juger par une lettre aux archives départementales.    La Commune n'étant pas autorisée a plaider, les chôse en reste là et le lavoir aussi.!!...             Il est présumé que le dit lavoir à été restauré sans être couvert, vers 1850.     Les comptes de gestion et budgets de ses deux années qui pourraient en fournir la preuve, manquent aux archives et ( ceux la seulement.) Ainsi jusqu'a cette date, ils manquent au dossier !!....  1ère la délibération du conseil municipal du 13/07/1823, fixant les conditions de l'échange et 2èm le plan des chemins drèssé par Gauthier. 3èm, le budget et comptes de gestions de 1850 à 1851.   Toutes pièces ayant un grand intérêt pour la commune ainsitent à poser la question.??....A qui profitent ses disparitions ??,.. Mt Moreau qui revandique la propriété de la fontaine le fait de façon réticente, puis qu'il n'ose la vendre. le chemin de StAubin à St Martin qui passait anciennement entre la source  et le lavoir, que l'examen de cette source( matériaux de construction) montre qu'elle remonte presque a un millier d'années ( Barre d'appuis arrondis au marteau.) le lavoir lui même existe de temps immémorial. délibération du conseil du 22/11/1846. Le lavoir est a refaire sur l'emplacement d'un lavoir déjà existant. Mr Moreau déclare que Mr Leblans Duvernoy à fait recouvrir le lavoir.   Nous répondons que la chose était exacte, mais que c'était reconnaitre implicitement qu'il ne l'a pas construit et que par conséquent, il est bien à la commune.       Mr Moreau fonde les droits de propriété de son prédécèsseur, Mr Leblans Duvernoy sur des demandes d'achat de la dite fontaine par la commune d'Aillant. 2 ème  Mr Cahen de Frauville et la commune de St Aubin.  La premeière demande à été ignorée de la commune et reste sans suitte. La seconde de Mr Leblanc Duvernoy, n'était pas spécialement interressé par la source, mais pour utiliser l'ancien Moulin du Berceau comme force motrice d'une usine électrique et une machine élèvatoir.    Mr Moreau invoque en dernier, la demande du syndicat intercommunal de Chassy  et St Maurice Thizouaille.  Mr Moreau n'a pas effectué la vente parce qu'il n'est pas certain de sa propriété, ce qu'il a avoué en mairie devant l'adjoint et trois conseillers municipaux.    Mr Moreau et Mr Leblanc Duvernoy ne peuvent opposer à la commune aucun titre de propriété avec une origine incontournable.       Une réunion pubique est déclarée ou 70 personnes assistent et l'avis est demandé à la population par une pétition.  1er Que la fontaine reste propriété communal. 2èm que la commune réserve à lampy le droit au lavoir, le droit de puiser de l'eau avec une pompe. 3 ème le droit de prise d'eau sans frais, en cas d'aduction avec priorité. 4 ème Le droit depuiser de l'eau pour Sur Ocre. De ce fait 130 personnes réclament les réserves à Lampy.    Les délégués du syndicat sont convoqués et la délibération est prise  Le conseil communal (Dechamp, Frécaud, Marie). La commune autorise Mr Moreau à vendre la fontaine de Lampy,seulement au syndicat Chassy St Maurice. En cas contraire, elle reprend ses droits .!!... La commune a donc tout de même des droits qu'on peut réserver.          

Historique du Moulin du Berceau.

Comme je vous l'ai dit précédemment, le Moulin du Berceau fut acqui par Mr Roslin de Fourolles, acte de vente du 20 novembre 1818.      Puis à été donné par testament alographe à Melle Billeton de Guillebaudon le 2 Aout 1838, acte de Février 1839, et revendu a Mr Leblanc Duvernoy, acte du 9 novembre 1846, puis revenu a son fils Léon- Paul Le BlancDuvernoy  par héritage, à la mort de sa mère Augusta Eugénie Petiet, jusqu'a ce qu'elle le vendre à Mr Michel Cahen, propriétaire du château de Frauville, né le 4 février 1862 à Ennery  (Moselle.) son père, Abraham CAHEN était marchand de bestiaux. Sa mère se nommait Caroline Levy.      En 1887, avec son épouse Caroline Goss, il ouvre une épicerie à Paris rue Boulitte.                Le hazard entre en jeu quand il rachète au Havre une cargaison de café, rescapé d'un bateau naufragé.  Le produit est alors rare et dons peu consommé. Michel CAHEN, fit sécher et griller sa précieuse acquisition, l'ensache dans des petits paquets qu'il entreprend de vendre en porte à porte.  Le succès est foudroyant, et Trois ans plus tard, en 1890, le couple crée sa marque. ( Au Planteur de Caïffa ) le champ d'activité est élargie au thé, épices et autre denrées rares à l'époque.            Peut-être parce qu'il à lui même pratiqué la vente à domicile, le commerçant à une idée de génie. Il ouvre des succuresales dans toute la France ( Plus de 300 en 1910) et dévelope la vente au détail, directement chez l'habitant.  Ses agents sont ravitaillés grace au chmin de fer et un nouveau type de colporteurs se lencent sur les chemins. Ils sont reconnaissables par leurs casquettes grises l'été, verte l'hiver, tablier de jardinier, sacoche d'épicier et crayon sur l'oreille, qui compose la tenue réglementaire.  Le Véhicule est lui aussi, uniformé, d'un triporteur noir sur lequel brille l'enseigne poussé par le colporteur et tiré , selon les régions, par des chiens, un ane ou un mulet.  En marge du café le chargement contient, sadine, pâte, chocolat, sucre huile, poudre de lissive et même des aiguilles, fils et cotons.                                     A la mort de Michel CAHEN, le 31 janvier 1928 à Paris, son fils Albert CAHEN propriétare du domaine du Roncemay, hérite du Moulin du Berceau.                                                                                   Celui ci, est né le 17 Avril à Paris .    C'est après la guerre de 1914 que la société, ( Aux Planteurs du Cïffa ) atteint ses sommets, sous sa houlette. Il est nommé directeur en 1921. La société étand son réseau sur toute la france et compte 2500 sucursals et 5000 employés.          En  1939, Allbert CAHEN vend le Moulin du Berceau à Jean Moreau, notaire à Senan.            Au début de la seconde guerre mondiale, Albert Cahen, victime des lois anti-juives ne peut conserver la direction de la société, et doit la cédé à l'un de ses directeurs Mr Couture.      Mr Albert, fut interné, mais eu la chance  de s' en sortir avec son épouse, Alice CONRARDY, restez au Roncemay, qui aida beaucoup les familles des prisonniers et des résistants.                                 Après la guerre, la société, n'est plus lombre d'elle même, et en 1951 , Mr Albert doit déposer le bilan.  Il décéde le 24 novembre 1972 an château du Roncemay et son épouse décède le 31octobre 1987 à Joigny  Après acquisition du domaine du Moulin du Berceau en 1939, jean Moreau signa en 1940, avec Maxime Carré,( jusqu'alors fermier au château de Frauville,) un bail mettant à disposition les batiments d'habitations et ceux à usage agricole ainsi que l'exploitation des prés, des bois et d'une parcelle de terre.             Ce bail fut modifié en 1947, lorsque Fernand Carré succéda à son père Maxime et jusqu'en avril 1984 .                                                  Dans ce bail de location en 1940, puis celui de 1947,,une clause importante exigeait :              (Le locataire devra curer et rafraichir le ruisseau et rigoles et notamment, fourcader chaque année les joncs poussant dans le ru traversant ou limitant les près de Moulin du Berceau, de manière à ce que l'écoulement de l'eau du ruisseau soit parfait, ainsi que le système d'irrigation. A cet éffet le locataire devra toujour entretenir en parfaite état, les vannes et grilles existantes sur le ruisseau.                         Cette clause à toujours été respectée par mon grand père et mon père, souvent aidé par ses trois fils ( Jean Claude, Daniel et Francis.)      A la mort de Jean Moreau, le 30 mars 1984, son fils Jacques Moreau hérita du Moulin qu'il revandi deux ans plus tard, le 1er Aout 1986 à la commune de St Aubin.  Domaine de 10 hectares comprenant batiments, prés et bois.          

 

Histoire de la Source et du Lavoir de Lampy .

 
Les Pas Presses visite au Golf du Roncemay
 
 

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